Quand la boite à bébés fait parler d’elle

 

Les parents peuvent abandonner leur nouveau-né dans des espaces dédiés

Au bout d’un chemin, dans une ruelle, à l’arrière d’un hôpital… Se trouve une trappe la plupart du temps en acier inoxydable avec une poignée, l’environnement y est chauffée et un signal est envoyé pour que le bébé soit pris en charge rapidement. Dans cette trappe, se trouve un plateau ou le nouveau né y est déposé, des couvertures, une lettre pour la personne qui renseigne qui appeler si elle ou il change d’avis et une lettre pour le bébé avec des renseignements médical, le prénom… tous ce que les personnes jugent nécessaire pour la future adoption.

Chaque année des centaines de bébés à travers le monde sont déposés dans ses trappes.

Le processus étant secret et anonyme, ainsi personne ne sait qui sont les personnes qui déposent ses nouveaux nés. Un des arguments avancés par ceux qui condamnent le système. Sont-ils déposés par les parents, les beaux parents, les pères, les maquereaux… ?

La mère de cet enfant a-t-elle consenti à cet acte ?

Sur cet argument, en facilitant la tâche pour abandonner un bébé, les mères ont moins de chances d’obtenir l’aide réelle dont elles ont besoin dans leur situation et risque de créer un grand traumatisme émotionnel.

C’est un argument que rejettent les concepteurs de boîtes à bébés. Ils offrent aux mères désespérées un moyen sûr et anonyme d’abandonner leurs bébés non désirés. Et ainsi, diminuer les risques d’infanticides, de maltraitances, de malnutritions…

Ce qui encourage la création d’un plus grand nombre de boites à bébés à travers le monde. La loi de certains pays encourage leur création. En Hongrie, par exemple, elle a été modifiée de sorte que laisser un bébé dans une boite est considéré comme un acte juridique équivalant à un consentement à l’adoption, tandis que le fait de laisser un bébé ailleurs demeure un crime.

En France, la question ne se pose pas. Une femme a en effet le droit « d’accoucher sous X », ce qui lui permet d’abandonner son bébé juste après l’accouchement. 

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Chaque année des centaines de bébés à travers le monde sont déposés dans ses trappes.

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La mère de cet enfant a-t-elle consenti à cet acte ?

Sur cet argument, en facilitant la tâche pour abandonner un bébé, les mères ont moins de chances d’obtenir l’aide réelle dont elles ont besoin dans leur situation et risque de créer un grand traumatisme émotionnel.

C’est un argument que rejettent les concepteurs de boîtes à bébés. Ils offrent aux mères désespérées un moyen sûr et anonyme d’abandonner leurs bébés non désirés. Et ainsi, diminuer les risques d’infanticides, de maltraitances, de malnutritions…

Ce qui encourage la création d’un plus grand nombre de boites à bébés à travers le monde. La loi de certains pays encourage leur création. En Hongrie, par exemple, elle a été modifiée de sorte que laisser un bébé dans une boite est considéré comme un acte juridique équivalant à un consentement à l’adoption, tandis que le fait de laisser un bébé ailleurs demeure un crime.

En France, la question ne se pose pas. Une femme a en effet le droit « d’accoucher sous X », ce qui lui permet d’abandonner son bébé juste après l’accouchement. 

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